Newsletter Janvier 2025 Dr Thérèse Quillé
Tous mes vœux de Joie, de Paix, de Bonheur pour la nouvelle année,
qu’elle vous apporte la réalisation de tous vos désirs
(Je pense qu’il est bon d’ajouter : « si cela est pour moi et pour les autres ! »
Oui, nous sommes des enfants et comme des enfants nous voulons des bonbons sans nous rendre compte de dégâts que ceux-ci risquent de créer sur notre santé. Heureusement les parents sont là qui limitent ces aliments qui font plaisir mais qui risquent de créer des problèmes…
Nous avons des difficultés à distinguer ce qui est vraiment bénéfique pour nous et ce qui ne nous apportera qu’un plaisir passager, sans nous aider dans notre évolution, c’est à dire dans le travail que nous avons choisi d’accomplir durant cette incarnation su Terre.
Comme les enseignements de la Vie des Maîtres nous le rappellent, nous sommes beaucoup plus que ce que nous croyons.
Nous nous sentons impuissants face aux guerres, aux victimes de séisme, à la misère… Et pourtant nous avons, au fond de nous, les mêmes qualités que Jésus. Jésus n’est pas venu pour faire le travail à notre place, mais pour nous montrer que nous sommes capables nous aussi de nous unir à la Source, à notre divinité, à notre Père. Et à ce moment-là nous pourrons réellement aider nos frères, transformer la Terre ou plutôt la suivre dans son évolution. Ecoutons Emile un Maîtres qui vit encore sur terre et qui a développé ces capacités : (Baird Spadling « la vie des Maîtres).
(p45) « Jésus
avait reconnu qu’en vivant dans la
conscience du Christ, on ne connait pas de limitations. Il tourna son
regard vers Dieu, source et créateur de tout, et le remercia de laisser
toujours à la portée de la main des hommes le pouvoir et la substance
nécessaires pour satisfaire tous leurs besoins. Il rompit donc le pain et le
fit distribuer par ses disciples. Et quand tout le monde fut rassasié, il y en
avait encore douze paniers de reste. Jésus ne comptait jamais sur le surplus du
voisin pour se nourrir ou nourrir les autres. Il enseigna que nos provisions
sont à la portée de la main dans la Substance Universelle où il y a provision
de tout. Il nous suffit d’extérioriser cette substance pour créer tout.
C’est également ainsi
qu’Elisée multiplia l’huile de la veuve. IL ne fit pas appel au possesseur d’un
excédent d’huile, sans quoi ses ressources humaines auraient été limitées. Il
prit contact avec l’Universel, et il
n’y eut plus d’autre limite à l’abondance que la capacité des récipients.
L’huile aurait coulé jusqu’à nos jours s’il y avait eu des vases pour la
contenir. »
(p84)
« Nous jouissons du privilège de savoir
que chacun peut accomplir les mêmes œuvres que nous et résoudre tous les
problèmes de la vie. Toutes les difficultés et les complications apparaitront
dans leur simplicité. Mon aspect n’est différent ni du vôtre ni de celui des
gens que vous rencontrez tous les jours. Et je ne vois aucune différence entre
vous et moi.
Nous (les chercheurs)
lui assurâmes que nous apercevions en lui quelque chose d’infiniment plus beau.
Il répondit : ce n’est que le mortel se comparant à l’immortel. Regardez donc la qualité de chaque homme
sans le comparer à d’autres et vous le trouverez semblable à moi.
Recherchez le Christ sur tout visage et vous y ferez apparaitre cette qualité
divine. Nous évitons les comparaisons. Nous ne voyons que le Christ en tous et
à tout instant. Ce faisant, nous sommes invisibles pour vous. Grâce à notre
vision parfaite, nous voyons la perfection, tandis qu’avec votre vue
imparfaite, vous voyez l’imperfection. »
Voici maintenant la réponse de Jésus à ce même sujet, en réponse à la question d’un chercheur : (p183) N’importe qui peut-il exprimer le Christ ?
Jésus répondit : Oui, il n’y a qu’un
seul aboutissement à la perfection. L’homme est issu de Dieu et il lui faut
retourner à Dieu. Ce qui est descendu des cieux doit remonter aux cieux.
L’histoire du Christ n’a pas commencée avec ma naissance, pas plus qu’elle ne
s’est terminée avec ma crucifixion. Le Christ existait quand Dieu créa le
premier homme à son image et à sa ressemblance. Le Christ et cet homme ne font
qu’un. Tous les hommes et cet homme ne font qu’un. De même que Dieu était Son
Père, de même Dieu est le Père de tous les hommes, de tous les enfants de Dieu.
De même que l’enfant possède les qualités de ses parents, de même le Christ
existe en chaque enfant. Pendant de longues années, l’enfant a vécu en ayant
conscience de sa qualité de Christ, c’est-à-dire de son unité avec Dieu à
travers le Christ en lui. Alors commença l’histoire du Christ qui remonte aux
origines de l’homme.
Le Christ signifie
plus que l’homme, Jésus. Il n’y a pas de contradiction à cela. Si je n’avais
pas perçu cette réalité, je n’aurais pas pu exprimer le Christ. Elle est pour
moi la perle sans prix, le vieux vin dans les outres neuves, la vérité que
beaucoup d’autres ont exprimée ; l’idéal que j’ai parfait et rendu
manifeste.
Mais nous nous sentons si impuissants ! Pourtant comme je vous ai invité à le faire, nous avons réussi à faire naître des sourires autour de nous, à développer de l’amour autour de nous en fonction de nos capacités, capacités que nous pouvons développer !
Quand nous y pensons, soyons conscient du Christ qui est en nous, reconnaissons, aimons notre partie divine et laissons-là rayonner, que ce soit dans le silence de notre méditation ou dans nos rencontres, en faisant nos courses… faisons de notre mieux notre travail, remplissons de notre mieux notre rôle tout en étant simplement conscient qu’en nous il y a la divinité et qu’elle rayonne à travers nous.
C’est le plus grand bien que nous pouvons nous faire et que nous pouvons offrir à l’humanité.
Bonne et heureuse année 2025
Newsletter Janvier 2025 Dr Thérèse Quillé
Tous mes vœux de Joie, de Paix, de Bonheur pour la nouvelle année,
qu’elle vous apporte la réalisation de tous vos désirs
(Je pense qu’il est bon d’ajouter : « si cela est pour moi et pour les autres ! »
Oui, nous sommes des enfants et comme des enfants nous voulons des bonbons sans nous rendre compte de dégâts que ceux-ci risquent de créer sur notre santé. Heureusement les parents sont là qui limitent ces aliments qui font plaisir mais qui risquent de créer des problèmes…
Nous avons des difficultés à distinguer ce qui est vraiment bénéfique pour nous et ce qui ne nous apportera qu’un plaisir passager, sans nous aider dans notre évolution, c’est à dire dans le travail que nous avons choisi d’accomplir durant cette incarnation su Terre.
Comme les enseignements de la Vie des Maîtres nous le rappellent, nous sommes beaucoup plus que ce que nous croyons.
Nous nous sentons impuissants face aux guerres, aux victimes de séisme, à la misère… Et pourtant nous avons, au fond de nous, les mêmes qualités que Jésus. Jésus n’est pas venu pour faire le travail à notre place, mais pour nous montrer que nous sommes capables nous aussi de nous unir à la Source, à notre divinité, à notre Père. Et à ce moment-là nous pourrons réellement aider nos frères, transformer la Terre ou plutôt la suivre dans son évolution. Ecoutons Emile un Maîtres qui vit encore sur terre et qui a développé ces capacités : (Baird Spadling « la vie des Maîtres).
(p45) « Jésus
avait reconnu qu’en vivant dans la
conscience du Christ, on ne connait pas de limitations. Il tourna son
regard vers Dieu, source et créateur de tout, et le remercia de laisser
toujours à la portée de la main des hommes le pouvoir et la substance
nécessaires pour satisfaire tous leurs besoins. Il rompit donc le pain et le
fit distribuer par ses disciples. Et quand tout le monde fut rassasié, il y en
avait encore douze paniers de reste. Jésus ne comptait jamais sur le surplus du
voisin pour se nourrir ou nourrir les autres. Il enseigna que nos provisions
sont à la portée de la main dans la Substance Universelle où il y a provision
de tout. Il nous suffit d’extérioriser cette substance pour créer tout.
C’est également ainsi
qu’Elisée multiplia l’huile de la veuve. IL ne fit pas appel au possesseur d’un
excédent d’huile, sans quoi ses ressources humaines auraient été limitées. Il
prit contact avec l’Universel, et il
n’y eut plus d’autre limite à l’abondance que la capacité des récipients.
L’huile aurait coulé jusqu’à nos jours s’il y avait eu des vases pour la
contenir. »
(p84)
« Nous jouissons du privilège de savoir
que chacun peut accomplir les mêmes œuvres que nous et résoudre tous les
problèmes de la vie. Toutes les difficultés et les complications apparaitront
dans leur simplicité. Mon aspect n’est différent ni du vôtre ni de celui des
gens que vous rencontrez tous les jours. Et je ne vois aucune différence entre
vous et moi.
Nous (les chercheurs)
lui assurâmes que nous apercevions en lui quelque chose d’infiniment plus beau.
Il répondit : ce n’est que le mortel se comparant à l’immortel. Regardez donc la qualité de chaque homme
sans le comparer à d’autres et vous le trouverez semblable à moi.
Recherchez le Christ sur tout visage et vous y ferez apparaitre cette qualité
divine. Nous évitons les comparaisons. Nous ne voyons que le Christ en tous et
à tout instant. Ce faisant, nous sommes invisibles pour vous. Grâce à notre
vision parfaite, nous voyons la perfection, tandis qu’avec votre vue
imparfaite, vous voyez l’imperfection. »
Voici maintenant la réponse de Jésus à ce même sujet, en réponse à la question d’un chercheur : (p183) N’importe qui peut-il exprimer le Christ ?
Jésus répondit : Oui, il n’y a qu’un
seul aboutissement à la perfection. L’homme est issu de Dieu et il lui faut
retourner à Dieu. Ce qui est descendu des cieux doit remonter aux cieux.
L’histoire du Christ n’a pas commencée avec ma naissance, pas plus qu’elle ne
s’est terminée avec ma crucifixion. Le Christ existait quand Dieu créa le
premier homme à son image et à sa ressemblance. Le Christ et cet homme ne font
qu’un. Tous les hommes et cet homme ne font qu’un. De même que Dieu était Son
Père, de même Dieu est le Père de tous les hommes, de tous les enfants de Dieu.
De même que l’enfant possède les qualités de ses parents, de même le Christ
existe en chaque enfant. Pendant de longues années, l’enfant a vécu en ayant
conscience de sa qualité de Christ, c’est-à-dire de son unité avec Dieu à
travers le Christ en lui. Alors commença l’histoire du Christ qui remonte aux
origines de l’homme.
Le Christ signifie
plus que l’homme, Jésus. Il n’y a pas de contradiction à cela. Si je n’avais
pas perçu cette réalité, je n’aurais pas pu exprimer le Christ. Elle est pour
moi la perle sans prix, le vieux vin dans les outres neuves, la vérité que
beaucoup d’autres ont exprimée ; l’idéal que j’ai parfait et rendu
manifeste.
Mais nous nous sentons si impuissants ! Pourtant comme je vous ai invité à le faire, nous avons réussi à faire naître des sourires autour de nous, à développer de l’amour autour de nous en fonction de nos capacités, capacités que nous pouvons développer !
Quand nous y pensons, soyons conscient du Christ qui est en nous, reconnaissons, aimons notre partie divine et laissons-là rayonner, que ce soit dans le silence de notre méditation ou dans nos rencontres, en faisant nos courses… faisons de notre mieux notre travail, remplissons de notre mieux notre rôle tout en étant simplement conscient qu’en nous il y a la divinité et qu’elle rayonne à travers nous.
C’est le plus grand bien que nous pouvons nous faire et que nous pouvons offrir à l’humanité.
Bonne et heureuse année 2025