Qui suis-je ?

            Je suis médecin depuis 46 ans… J’ai toujours adoré mon métier  et je crois que je n’ai jamais regretté mon choix professionnel.

            J’ai beaucoup aimé les études médicales  :

            Connaître le corps humain, notre « véhicule », comment nous fonctionnons, comment nous sommes faits…les différents systèmes qui nous composent et nous permettent de vivre.

            Au niveau physique, pensons à tout ce qui se met en place pour que nous puissions lever le bras : il y a certes l’appareil ostéo-musculaire (les os, les muscles les tendons, les cartilages, les articulations).. mais aussi :

– les nerfs et le système nerveux qui permettent de commander à nos muscles,

– l’appareil cardiovasculaire et l’appareil respiratoire qui apportent l’oxygène, le sucre, 

– le système digestif qui apporte l’énergie nécessaire à l’accomplissement du geste,

– l’appareil urinaire, avec les reins pour l’évacuation des déchets, la peau,

– le système hormonal, le système de reproduction, les organes des sens…

            Et tout cela fonctionne ensemble et obéit à notre pensée… Dans notre corps tout est lié.

            Nous y sommes tellement habitués que nous n’y pensons plus et nous nous émerveillons devant un robot alors qu’il n’a aucune vie propre !

            Nous avons étudié les dysfonctionnements de notre corps, leurs causes et comment y faire face. Comment nous pouvons compenser ses défaillances avec les traitements, les médicaments, mais aussi la chirurgie, la kinésithérapie, l’ergothérapie, les différentes rééducations : orthophonie, orthoptie… sans oublier la psychothérapie…

            Nous avons appris comment éviter les troubles liés à la grossesse, à la naissance, comment aussi aider les sportifs à devenir plus performants, comment s’adapter à des milieux difficiles…

          Oui, c’est vraiment passionnant.

            J’ai toujours souhaité aider mes semblables à mieux vivre, et la médecine m’a donné beaucoup de possibilités pour cela.

            J’ai appris que le généraliste était un rouage essentiel dans le système de soin :

– Il connaît le patient, ses difficultés en lien avec la santé, il peut faire appel à des confrères spécialistes pour aider à faire un diagnostic et mettre en route un traitement. Il coordonne les différents traitements proposés par les différents spécialistes, vérifie les compatibilités des traitements entre eux…

– Il connaît aussi le patient socialement : ses possibilités, son entourage, il peut conseiller les proches qui souhaitent aider le patient, intervenir parfois en cas de conflit.

– Il est l’interlocuteur préférentiel du patient.

            Puis j’ai lu le livre du Dr Bernie Siegel : l’amour, la médecine et les miracles (Ed j’ai lu). C’est un chirurgien qui intervenait auprès d’enfants cancéreux en particulier. Il s’est rendu compte qu’en fait, le pivot principal d’un traitement n’était pas le généraliste (ou le chirurgien, le pédiatre…), mais le patient lui-même. C’est lui qui vit les choses, qui doit décider ou non de faire des examens complémentaires, de suivre ou non un traitement… en s’aidant de l’équipe médicale, et de ses proches. Les soignants, mais aussi les pharmaciens et les producteurs de médicaments sont au service du patient.

            Je suis allée 3 ans en coopération en Afrique, au Cameroun. J’ai pu donner des consultations, aider les accouchements, et surtout former des auxiliaires de santé qui soient surtout préoccupés de prévention, à travers des conseils sur la nutrition, la désinfection de l’eau, l’utilisation de latrines, la prévention contre les refroidissements. J’ai aussi insisté sur l’importance de l’allaitement maternel qui protège la santé des enfants.

            Mais j’ai aussi découvert une autre manière de vivre, d’autres critères de réussite, de bonheur, d’autres rapports humains dans le couple. Je n’ai pas du tout adopté leur manière de vivre, mais je sais que notre mode de vie n’est pas universel, qu’il y a d’autres manières de vivre qui apportent aussi beaucoup de joies.

            Puis j’ai découvert lhoméopathie, la possibilité de faire réagir le patient pour qu’il prenne conscience de son état et mette en route son auto-guérison en donnant des « toutes petites quantités » d’un produit capable de créer les troubles présentés par le patient.

            Je parlerai plus longuement de l’homéopathie dans le chapitre correspondant.

            Je me suis installée comme généraliste-homéopathe et j’ai eu beaucoup de plaisir à rencontrer les personnes. La consultation en homéopathie oblige à poser de nombreuses questions pour pouvoir trouver le remède adéquat : les remèdes ne s’adressant pas à la maladie mais à la personne, ils doivent être choisis en fonction du caractère de la personne…

            Cela m’a permis de découvrir les personnes venant en consultation de manière beaucoup plus profonde, de mieux comprendre la psychologie de chacun, les impacts des traumatismes, des deuils, des échecs, des renoncements,… sur la vie…

            J’ai aussi étudié l’acupuncture : les confrères m’ayant dit que l’association homéopathie-acupuncture donnait de très bons résultats. Mais devant un patient, je trouvais facilement le remède homéopathique à lui prescrire, mais pas les points d’acupuncture à traiter, aussi, malgré ma connaissance théorique de l’acupuncture et mon diplôme, j’ai très peu pratiqué l’acupuncture.

            Je me suis intéressée aussi à la médecine manuelle.

            Au départ, j’ai suivi les journées orthopédiques et thérapeutiques manuelles auprès de Mr le Pr Maigne à l’Hôtel Dieu à Paris. J’ai ainsi appris la notion de dérangement intervertébral mineur et les manipulations vertébrales à effectuer. Mais les exercices pratiques que nous avons effectués entre participants ont aggravé mes douleurs lombaires. J’ai donc pensé que cet enseignement ne me convenait pas parce que je ne supporterais pas l’apprentissage qui se pratiquait les uns sur les autres.

            J’ai ensuite découvert l’ostéopathie et j’ai suivi les cours du Dr Polak, qui reprenait les enseignements des techniques du Dr H. Lawrence Jones « correction spontanée par positionnement ». Au cours de cette formation, j’ai appris qu’on pouvait relâcher un muscle, un tendon ou un ligament simplement en le maintenant en position de raccourcissement maximal pendant 90 secondes. Il n’était donc pas nécessaire d’effectuer un « thrust » (une manipulation) pour obtenir un résultat. J’ai appris ainsi à travailler sur les lésions les plus fréquentes.

            Mais rester 90 secondes dans une position c’est long, et une amie également médecin m’a parlé d’une formation qu’elle avait suivie la même année à Genève, l’Ortho-Bionomy® (OB), une forme d’ostéopathie en douceur elle aussi, mais qui ne nécessitait pas de rester 90 secondes dans la même position. Elle a employé le terme « énergie ». L’énergie, c’est un terme qui ne voulait pas dire grand-chose pour moi à l’époque, mais la perspective de pratiquer plus rapidement m’a séduite et j’ai suivi la formation en OB créée par le Dr Arthur Lincoln Pauls.

            Le Dr Arthur Lincoln Pauls a développé une méthode de médecine manuelle très efficace à partir des découvertes du Dr Jones : au lieu de raccourcir simplement la structure en cause, il s’est mis à suivre la détente qui s’installait dans la lésion. Il s’est ainsi rendu compte que le temps pour obtenir la levée des contractures pouvait être beaucoup plus bref, mais aussi que le mouvement de détente pouvait se transmettre à des structures voisines en souffrance. Il s’est rendu compte qu’on pouvait ainsi traiter des mémoires émotionnelles liées aux troubles physiques présentés.

            Il a créé et enseigné la méthode qu’il a appelée « Phase Technique Réflexe », puis « Ortho-Bionomy® ». A noter que la pratique nécessite d’être centré, ancré, relié à la Source, au « Cela » (terme qu’utilisait A. L. Pauls pour parler de l’énergie universelle, de la source) : l’état de présence (précisions dans le chapitre correspondant).

            J’ai été emballée par la méthode, j’ai suivi toute la formation avec A. L. Pauls, j’ai été enchantée des résultats et mes patients plus encore, puis je l’ai enseignée et j’ai écrit un livre: « l’Ortho-Bionomy, l’homéopathie du corps ».

            Vous trouverez plus de renseignements sur la médecine manuelle, l’Ortho-Bionomy® et la Pratique Manuelle Informative®  dans le chapitre correspondant.

            A noter le rapprochement entre :

– L’homéopathie où on met en route l’autocorrection du patient en montrant au corps son déséquilibre en lui apportant de toutes petites quantités d’un produit capable de créer les troubles présentés. A noter la dynamisation des produits au cours des dilutions.

→ Vis-à-vis de la médecine classique ou de la phytothérapie au cours desquelles on emploie des remèdes à dose pondérale pour corriger les troubles.

– Et l’Ortho-Bionomy où on met en route l’autocorrection en raccourcissant le muscle, en soulevant encore plus une épaule trop haute, en exagérant les « positions de compensation des troubles », tandis que le praticien est simplement là pour le patient, sans intention de traiter, en laissant faire, en accompagnant ce qui se produit.

→Vis-à vis de l’ostéopathie classique où le praticien a appris les gestes qui vont faire du bien au patient, il corrige les lésions, les déséquilibres.

            Ce qui permet la mise en route de l’auto-guérison du patient, c’est l’attitude du praticien, l’état de présence dont nous parlerons dans le chapitre correspondant.

          J’ai continué ma pratique de médecin généraliste à orientation homéopathique et ostéopathique. Puis des amis médecins m’ont parlé de la méthode NAET pour le traitement des allergies. Comme ils avaient l’air convaincus, qu’ils ne se connaissaient pas entre eux, je me suis renseignée.

            La méthode NAET a été crée par Mme le Dr Devi Nambudripad.

            J’ai regardé sur internet, j’ai acheté et lu ses livres sur la méthode NAET. Malheureusement il fallait attendre un an pour une prochaine formation en français à la méthode NAET.

            Le Dr Devi Nambudripad était elle-même sujette à de nombreuses allergies et hypersensibilités. Elle a découvert que stimuler certains points d’acupuncture pendant qu’on était en contact avec l’allergène (le produit ayant causé l’allergie), permettait de supprimer l’allergie avec ce produit. Mais il peut y avoir de nombreux allergènes chez une même personne ! Et en plus il y a de grosses interconnexions entre allergie et émotions. Le Dr Nambudripad parlait du NST : Test de Sensibilité Neuromusculaire encore appelé TRM (Test de Réponse Musculaire), mais n’y croyant pas, je ne l’ai pas testé alors.

            J’ai testé ses découvertes avec une première patiente : elle était allergique aux pommes de terre. Chaque fois qu’elle en mangeait, elle faisait une crise d’urticaire. En lisant le livre sur la méthode NAET, c’était très difficile de déterminer le méridien d’acupuncture en cause, mais tous les méridiens passant par la tête, en pratiquant un travail crânien en médecine manuelle, on peut traiter l’ensemble des méridiens. J’ai procédé ainsi :

            Je lui ai demandé de venir après mes consultations avec une pomme de terre. Quand elle est arrivée, je lui ai demandé de s’allonger sur ma table de soin et j’ai commencé un travail pour rééquilibrer sa circulation d’énergie. En particulier, j’ai pratiqué au niveau de son crâne, jusqu’à ressentir le mouvement respiratoire primaire (MRP : Mouvement Respiratoire Primaire) équilibré, régulier.

            A ce moment, je lui ai donné la pomme de terre à tenir dans sa main. Et là, le MRP est devenu anarchique. Je lui ai demandé comment elle se sentait : elle ne ressentait rien de particulier, alors je suis restée au niveau de sa tête jusqu’à ce que le MRP redevienne régulier. Puis je lui ai enlevé la pomme de terre, je la lui ai remise, le MRP est resté régulier. Depuis cette séance, la patiente n’a plus fait d’intolérance aux pommes de terre et ce avec un recul de 15 ans maintenant !!!

            J’ai pratiqué alors avec une amie intolérante aux acariens avec le même résultat puis avec des patients intolérants aux pollens : mais dans ce cas la difficulté était de déterminer le pollen en question et de pouvoir le faire tenir pendant le travail énergétique…

            Quelques mois plus tard, je suis allée à une formation organisée par Mr le Dr Bagur qui m’avait parlé de la méthode NAET. C’était sur la Thérapie du Champ mental (TCM), une méthode crée par Mr le Dr Roger Callahan. Le Dr Roger Callahan avait guéri « par hasard » une personne atteinte de phobie de l’eau, simplement en stimulant certains points d’acupuncture alors qu’elle était en contact visuel avec l’eau, l’objet de sa phobie. (Le Dr Callahan avait stimulé ces points pour la soulager d’une sinusite). Et depuis, sa phobie avait disparu. Le Dr Callahan a ainsi été à l’origine de la Thérapie du Champ mental, mais aussi de l’EFT (Emotional Freedom Techniques). Il a écrit plusieurs livres dont « 5 minutes pour traiter vos phobies », Ed le souffle d’Or.

            Le premier élément que nous avons appris a été le Test de Réponse Musculaire (TRM). Comme je ne pensais pas que le corps puisse réagir à un mot, à une évocation, je me suis proposée comme volontaire et j’ai dû avouer que c’était vrai et que c’était un très bon moyen d’investigation. J’en parlerai de manière plus approfondie dans le chapitre correspondant.

            Nous avons ensuite recherché nos peurs : « peur de parler en public », « peur d’être jugé », « peur des araignées »… en utilisant le TRM pour les évaluer.

            Nous avons ensuite procédé au traitement de ces peurs en travaillant 2 par 2 : le sujet qui souhaite voir diminuer ou supprimer sa peur se focalise sur elle en répétant par exemple « j’ai peur des araignées », tandis que la personne qui l’aide à le débarrasser de sa peur stimule le méridien Vessie au niveau du dos.

            J’ai fait comme on nous l’a demandé. J’avais choisi « j’ai peur de parler en public » et j’ai été très surprise qu’ensuite, la même phrase ne fasse plus baisser mon bras, mais surtout que par la suite, je puisse exprimer mon opinion dans un groupe sans aucun malaise…

            Bien évidemment, j’ai pratiqué ainsi une fois revenue à mon cabinet. J’ai ainsi travaillé avec une amie qui avait peur des avions, non seulement de prendre l’avion mais entendre le bruit d’un avion entraînait chez elle de l’angoisse, des palpitations… Je lui ai demandé de répéter : « j’ai peur des avions », tandis que je stimulais son méridien Vessie dans le dos. Ensuite, « j’ai peur des avions » ne faisait plus baisser son bras, le TRM était solide. Quand je l’ai revue quinze jours plus tard, je lui ai demandé comment cela s’était passé : elle m’a dit que maintenant elle ne ressentait plus d’angoisse quand elle entendait un avion passer, et que dans ses cauchemars, il n’y avait plus d’avion. Elle nous a expliqué que depuis 1944, depuis les bombardements à Nancy, elle faisait des cauchemars : elle entendait des avions, puis le bruit de sifflement des bombes et enfin le bruit d’explosion. Après le travail que nous avions fait sur les avions, dans ses cauchemars il n’y avait plus le bruit des avions, seulement le sifflement des bombes et la déflagration !! Nous avons procédé de la même manière pour les bombes et depuis, mon amie n’a plus fait de cauchemars !

            J’ai alors fait le rapprochement entre le travail que je faisais pour traiter les allergies et le travail de la Thérapie du Champ Mental : dans les deux cas, tandis que la personne était en lien avec la cause de son intolérance en tenant l’allergène ou en répétant l’objet de sa peur, le praticien entrait en contact avec l’ensemble des méridiens de la personne, que ce soit en effectuant un travail crânien ou en stimulant le méridien vessie dans le dos qui est aussi en lien avec tous les autres méridiens du corps.

            Puis je me suis demandé si un travail au niveau de l’aura (l’enveloppe énergétique qui est autour de chacun) n’aurait pas les mêmes effets.

            Alors j’ai essayé de pratiquer avec certaines personnes en effectuant le MRP au niveau du crâne en ostéopathie, en stimulant le méridien Vessie dans le dos, ou en étant simplement à distance de la personne mais reliée énergétiquement à elle. Je n’ai pas trouvé de différence au niveau des effets entre ces différentes manières de procéder. Et comme c’est encore plus facile d’être seulement en lien avec la personne, c’est ce que je préconise dans le travail en HG (Harmonisation Globale). Je parlerai de manière plus approfondie de l’HG dans le chapitre correspondant.

            C’est ainsi qu’est née l’HG.

            J’ai utilisé le TRM pour la pratique de l’HG : savoir à quoi le patient était allergique pour savoir à quoi le désensibiliser, mettre un nom sur ce qui le perturbait.

            J’ai aussi utilisé le TRM pour rechercher l’origine des troubles présentés par le patient, pour rechercher les médicaments homéopathiques qui seront les mieux à même de traiter le patient. C’était vraiment très intéressant. Et puis est arrivé le COVID.

            Comme tout un chacun et comme les autres médecins j’ai appris qu’il y avait une nouvelle infection virale qu’on a appelé communément COVID (de son nom entier SRAS-CoV-2, Syndrome Respiratoire Aigu Sévère CoronaVirus 2). Les premières informations sont venues de Chine où ont eu lieu les premiers cas. Il a été expressément recommandé aux médecins, aux soignants, de ne donner que du paracétamol aux patients atteints pour ne pas augmenter la dangerosité de la maladie,… et cela a été repris par les autorités de santé en France.

            Devant une maladie grave (0,8% de mortalité !), qui, pour la médecine officielle, ne peut bénéficier que des techniques de réanimation puisqu’il n’y a pas de traitement spécifique, je me suis tournée vers l’homéopathie et surtout vers l’HG, en utilisant le TRM…

            En regardant les causes des décès des personnes atteintes du Covid, en consultant les résultats des biopsies (merci internet)… je me suis rendu compte que les personnes décédaient d’une sorte de réaction allergique exagérée : un « orage cytokinique » ou « choc cytokinique ». C’est un phénomène inflammatoire massif qui a été décrit dans diverses pathologies infectieuses, dont certaines coronaviroses respiratoires humaines (avril 2020).

            Alors j’ai traité des personnes en état de dyspnée aiguë avec l’HG en leur faisant répéter : « conflit antigène-anticorps ». Et cela a permis à ces personnes de mieux respirer en quelques minutes. Elles ont ainsi pu éviter l’hospitalisation et guérir en quelques jours.

            J’ai trouvé que souvent les personnes présentant des troubles respiratoires graves avec le Covid recevaient de nombreux médicaments pour le diabète, l’hypertension… qu’elles toléraient mal. C’est comme si elles avaient en permanence une réaction immunitaire contre ces médicaments et que le Covid entraînait un surcroît d’intolérance immunitaire, ce qui causait l’orage cytokinique. J’ai donc recherché systématiquement des intolérances à bas bruit chez les patients pour diminuer le risque de syndrome sévère et ces patients ont évité les formes graves. Je n’ai pas fait d’études statistiques : chaque cas est un cas particulier et ce n’est pas possible individuellement d’avoir un nombre suffisant de personnes …

            J’ai, comme pour tout autre maladie, recherché les facteurs favorisant la maladie, les troubles psychiques, les mémoires cellulaires… et je les ai traités avec l’HG. Bien évidemment j’ai traité aussi le conflit antigène-anticorps qui fait toute la gravité de la maladie (l’anticorps étant créé par la réaction du corps à la maladie et l’antigène étant le virus avec ses protéines virales, dont la protéine Spike)…

            Nous avons pu ainsi traiter les personnes atteintes par le Covid, qu’elles soient atteintes de forme grave ou non. Comme l’HG peut aussi agir à distance par intermédiaire, nous avons traité des personnes hospitalisées en réanimation par l’intermédiaire de leur  proche (conjoint, enfant…).

            Heureusement le virus maintenant est beaucoup moins agressif, il a muté, il y a plus de personnes atteintes, mais beaucoup moins de décès liés directement au virus.

            Pour des précisions sur le Covid, vous pouvez consulter le chapitre correspondant.

            Depuis pratiquement deux an maintenant, il existe des vaccins contre le Covid.

            Quand on a annoncé la création de vaccins contre le Covid dès la fin de l’année 2020, je me suis réjouie : on allait pouvoir vivre à nouveau normalement… Les informations officielles sur les vaccins étaient on ne peut plus rassurantes. Mais les premiers résultats de la vaccination dans les EPAHD ont été très décevants : persistance des infections par le Covid, persistance de la transmission du virus… Pourquoi vacciner alors que cette vaccination n’est pas efficace ? Les personnes vaccinées contre le tétanos depuis moins de 20 ans ne risquent pas le tétanos, c’est un vaccin qui remplit son rôle de prévenir la maladie. Et ici, on continue à utiliser un procédé inefficace et dangereux (il y a des effets secondaires).

            J’ai été sollicitée par des amis pour le choix du vaccin : il y avait deux types de vaccin, les vaccins «classiques » comme Jansen de Johnson et Johnson, Astrazeneca, et les vaccins à ARN tels les vaccins Pfizer et Moderna. Pour plus de précision, consultez le chapitre vaccin contre le Covid.

            Les effets secondaires étaient quasiment les mêmes entre ces deux types de vaccin, mais les vaccins à ARN ont été choisis car ils diminuaient beaucoup le risque de formes graves de Covid. Mais comme je l’explique, ces vaccins vont entraîner d’énormes problèmes de santé dans les années qui viennent. En effet, l’ARN messager, pour que le vaccin soit actif, doit pénétrer dans les cellules. Pour ce faire, la molécule d’ARN virale a été recouverte de molécules lipidiques ionisées, ce qui permet sa pénétration à l’intérieur de la cellule sans être dégradée. Mais cette micro-décharge électrique se transmet aussi à l’intérieur de la cellule, en particulier aux ribosomes. Les ribosomes sont des organites du cytoplasme de la cellule dont le rôle est de lire l’ARN messager : à chaque groupe de bases de l’ARN messager les ribosomes associent un acide aminé. Ces acides aminés sont ensuite reliés entre eux, toujours par les ribosomes, et forment les protéines. Le problème est que la micro-décharge électrique modifie la structure quaternaire du ribosome et de ce fait certaines liaisons en particulier entre la méthionine et la lysine sont très fragiles. Les protéines continuent à être produites mais  elles remplissent mal leur rôle. C’est pourquoi, depuis un an, on a commencé à voir des cas de tétanos chez des personnes vaccinées. Les anticorps produits en cas de contact avec le tétanos sont de mauvaise qualité et il en est de même pour de nombreuses autres maladies. C’est pour moi l’explication de la disparition des formes graves de Covid par orage cytokinique : les anticorps contre le Covid sont de mauvaise qualité et ne créent plus les complexes antigène-anticorps à l’origine des formes de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère). Par contre les effets de la protéine Spike sur la coagulation, les risques cardiovasculaires sont toujours là, tant après infection par le Covid qu’après vaccination par le virus du Covid.

            Et surtout, de nombreuses protéines sont défaillantes de ce fait. Imaginons une personne à risque de récidive de cancer. Pendant des années s’est établi un équilibre entre les cellules cancéreuses résiduelles et les cellules de la personne atteinte. Cette personne a par exemple développé des protéines spécifiques pour éviter la récidive du cancer. Si cette protéine vient à être de mauvaise qualité, le cancer ne sera plus maîtrisé…

            Et encore plus grave : nos protéines se renouvellent en permanence. Que se passera-t-il quand, au bout de 4 à 5 ans, l’organisme n’aura plus assez de protéines saines pour survivre ? De multiples défaillances touchant tous les organes risquent de se produire !

            Confrontée à ce risque je me suis intéressée aux isothérapiques de vaccin du Covid (médicaments homéopathiques fabriqués à partir des différents vaccins du Covid). J’ai testé les isothérapiques faits à partir des différents vaccins, à différentes dilutions : ils agissent tous bien sur la protéine Spike, sur le risque augmenté de troubles cardiovasculaires, mais n’agissent pas du tout sur les ribosomes et la fragilité de certaines protéines produites par les ribosomes après un vaccin à ARN messager. Alors j’ai acheté un isothérapique du vaccin Pfizer en 6CH et je l’ai monté en vibration en m’aidant de l’énergie universelle en 20K. Et quand j’ai testé le résultat, j’ai vu que cela agissait sur la protéine Spike, donc sur l’augmentation des risques cardiovasculaires, mais aussi cela permet aux ribosomes de faire à nouveau normalement la synthèse des protéines. Je l’ai appelé isothérapique 6CH 20K.

            En utilisant l’isothérapique 6CH 20K les ribosomes récupèrent leur capacité normale à former les protéines et le corps lutte contre les effets de la protéine Spike. Il est donc aussi très utile aussi pour les suites de Covid, le Covid long, l’anosmie…

            Le mieux est de ne pas se faire vacciner par un vaccin à ARN. Songez qu’il est question de vacciner ainsi les enfants !!! Et si vous reçu ces vaccins, prenez l’isothérapique 6CH 20 K. Je ne les vends pas mais je peux vous apprendre à le faire si cela vous intéresse. Et en cas de nouvelle injection, il faut reprendre l’isothérapique 6CH 20K.

            Les produits bioenergem m’ont paru très intéressants pour cela. Ce sont des produits fabriqués en utilisant certaines propriétés de la physique quantique. Mais ces produits s’ils permettent le fonctionnement normal des ribosomes, coupent la personne de son être intérieur, du divin en elle, comme d’ailleurs tous les produits énergétiques faits sans la conscience du divin.

            Il est temps de développer le cœur. Nous avons remarqué que les soins énergétiques (médecine manuelle, Reiki, HG,…) donnés dans la volonté de guérir le patient sont beaucoup moins efficaces que les soins donnés par un praticien utilisant ces mêmes pratiques qui se met simplement au service du patient et qui laisse l’énergie universelle agir.

            La physique quantique peut apporter des explications à ce que nous observons.

            Un autre phénomène que nous pouvons observer depuis la crise du Covid, c’est la soumission à l’autorité. C’est important que nos sociétés aient édicté des manières de vivre en public, des lois à respecter… Imaginons la circulation routière sans les règles de rouler à droite, de priorité aux intersections…

            Par contre, gardons notre libre arbitre : si une loi nous demande de tuer notre voisin, nous ne le ferons pas, nous en sommes sûrs. Rappelez-vous l’expérience de Milgram :

            Durant les années 60, Stanley Milgram a mené des études marquantes sur la soumission à l’autorité qui font aujourd’hui partie du patrimoine des sciences humaines. Le psychologue de Yale avait recruté des volontaires pour une étude sur l’apprentissage. À leur arrivée au laboratoire, ceux-ci rencontraient un scientifique et un homme qu’ils croyaient être un simple participant et qui endosserait le rôle d’apprenant. Lorsqu’il commettait une erreur durant un test d’association de mots, le sujet devait lui administrer une décharge électrique au moyen d’un générateur de chocs allant jusqu’à 450 volts par sauts de 15 volts, et s’il hésitait, le scientifique présent lui demandait imperturbablement de poursuivre l’expérience.

            Les résultats ont montré que la majorité des participants administraient les chocs maximaux à l’apprenant malgré ses supplications (simulées) pour que l’expérience cesse. Pour expliquer ces résultats, Milgram a affirmé que les individus soumis à l’autorité se comportaient comme de simples agents déresponsabilisés qui exécutaient aveuglément les ordres. L’application de l’expérience de Milgram à la pratique de l’expérimentation animale permet d’introduire une nouvelle lecture de la soumission à l’autorité.

            Les analyses qualitatives des entretiens avec les participants des expériences de Milgram montrent que l’identification aux buts scientifiques constituait une composante majeure de l’expérience.

            Loin d’être, comme Milgram l’a écrit, un « exécutant-robot » de l’action, l’individu apparaît plutôt comme un acteur qui, investi d’un but culturel supérieur, servir la science, non seulement consent, mais s’engage activement dans les comportements que l’on attend de lui.

            Quelles que soient les injonctions que nous recevons, qu’elles viennent d’une autorité morale, de la science… restons libres de notre jugement et responsables de nos actes.

            Personnellement si je sais qu’un enfant sur 100 000 atteint du Covid risque une atteinte grave à sa santé pouvant même être mortelle, et que le vaccin contre le Covid entraîne ce même risque pour un enfant sur 20 000, je me refuserai à vacciner : le vaccin comme nous le savons maintenant n’empêche pas la personne vaccinée d’être atteinte de la maladie et de contaminer ses proches !

            L’ouverture du cœur nous permettra non seulement de donner des soins, mais aussi de trouver les solutions aux graves troubles que nous pouvons observer dans notre monde.

            Nous pouvons déjà utiliser l’état de présence (cf chapitre correspondant) pour être beaucoup plus stable, solide, vis-à-vis des contrariétés, des décisions à prendre. Nous pouvons ensuite ouvrir notre chakra du cœur et laisser l’énergie universelle s’écouler en nous et autour de nous.