Dans les années 1900, les physiciens pensaient tout connaître de l’univers, et des lois qui le régissent. Mais les « anomalies » qui persistaient ont été étudiées par Max Planck et Albert Einstein entre autres, ce qui a permis de découvrir que l’émission d’énergie n’était pas continue, mais discontinue, avec des quanta, d’où le nom de physique quantique.
C’est une physique difficile à comprendre qui a suscité beaucoup de réticences. Pourtant elle est à l’origine de nombreuses découvertes que nous utilisons tous les jours comme le laser, par exemple. Le prix Nobel de physique 2022 a été attribué au Français Alain Aspect, l’Américain John Clauser et l’Autrichien Anton Zeilinger, pour leurs découvertes sur « l’intrication quantique ».
Pour certains physiciens, la dualité onde corpuscule est la propriété émergente qui symbolise le mieux la physique quantique.
Une particule de lumière est à la fois onde et corpuscule : elle a les propriétés d’une onde et elle a les propriétés d’une particule. Par contre dès qu’on cherche à mesurer l’onde, les propriétés des corpuscules disparaissent et dès qu’on veut mesurer le corpuscule, la fonction d’onde disparait.
On parle de « décohérence » pour expliquer comment un objet physique perd ses propriétés quantiques (effondrement de la fonction d’onde) pour devenir « classique » ou « normal ».
La vie a besoin de cette dualité onde-corpuscule pour permettre la néguentropie (évolution vers une diversification, contrairement à l’entropie qui est l’évolution spontanée de la matière vers l’état le plus stable). Si on ne considère que les lois de la physique classique, on ne peut comprendre et expliquer la vie. Pour moi la vie vient de la dualité onde corpuscule qui est à la base du vivant.
Quelle différence y a-t-il entre un corps vivant et un mort : il n’y a plus de mouvement, il n’y a plus de croissance… pourtant tous les éléments sont là. Mais ils ne sont plus reliés par la vie. Les anciens parlaient de principe vital, de l’anima.
Une personne maintenue en coma artificiel est encore vivante, même si elle n’est plus capable, momentanément par exemple sous l’effet d’une drogue, d’assurer seule ses fonctions vitales. Si elle est morte, si elle n’est plus reliée à son principe vital, à son âme (les spirites parlent d’un cordon d’argent qui continue à relier la personne à son âme tant que la personne est en vie et peut être réanimée). Par contre une cellule ou un organe du corps peut encore demeurer vivant quelques heures quand la personne elle-même est décédée. C’est pourquoi on peut faire des greffes post-mortem de rein par exemple ou de cornée.
Quand la personne est décédée, au contraire, les tissus se désintègrent et les éléments vont repartir à la nature sous forme d’atomes, comme un jeu de construction réduit à ses plus simples éléments, après quelques milliers d’années. Ils suivent la voie de l’entropie.
Plantez une graine dans le sol, elle va germer, ses racines vont s’enfoncer dans la terre, la tige sortir du sol, porter des feuilles… La graine est vivante, elle a emmagasiné en elle la vie. Planter une même graine avec la même composition chimique, mais qui a perdu la vie (germe détruit, trop vieille…), elle ne pourra pas germer. Elle se décomposera. Elle n’a plus ses capacités de néguentropie.
Pour maintenir ses capacités de vie, d’auto-guérison, l’homme a besoin de nourrir ses cellules, de les hydrater, de leur apporter de l’oxygène… Il a aussi besoin d’amour. Des bébés élevés en crèche, bien nourris, bien soignés, mais qui n’ont pas reçu d’amour, de contact humain affectif ne tardent pas à mourir. Les éléments physiques sont nécessaires au maintien de la vie, mais ils sont insuffisants.
L’homme ne se limite pas à son corps physique, il a aussi des émotions, des sentiments. C’est la sphère de l’âme. Mais l’homme a aussi un esprit qui le relie à l’énergie universelle, qui est lié et supporté dans le vivant par la dualité onde-particule.
On peut construire des robots, ils peuvent répondre à une question, exécuter un mouvement, mais ne peuvent avoir d’autonomie ni se reproduire. Ils ne peuvent que se dégrader au fil du temps.
Ayant découvert les effets de l’HG (Harmonisation Globale), sur les troubles présentés par les patients, j’ai évidemment cherché à trouver comment cette pratique pouvait agir.
Le contact physique n’est pas nécessaire, on peut travailler à distance, à l’autre bout de la France ou du monde. Comment cela se peut-il ?
On peut toujours penser à de la suggestion, mais comment expliquer, par exemple :
Une de mes filles, 18 ans, en vacances à 500 km, me téléphone parce qu’elle s’est fait mal au genou droit dans un toboggan : elle a dû recevoir 8 points de suture et le genou lui fait mal !
Je m’assure qu’elle fait ce qu’il faut pour que tout se passe bien : repos, désinfection… et elle continue les vacances avec ses amis et des livres ! 3 jours plus tard, je pense que je devrais essayer sur elle un traitement à distance. Alors le soir, je pense à son genou et j’imagine que j’ai mes mains sur lui et je laisse mes mains faire, le tout sans en parler à ma fille. Au bout de quelques minutes, en bon médecin, je me dis que ce que je fais n’a pas de sens et je m’arrête. Le lendemain elle me téléphone pour me dire que son genou va mieux, qu’elle a senti le travail que j’ai fait la veille sur son genou ainsi que l’heure exacte et me demande pourquoi j’ai quitté si vite son genou !
Des histoires comme cela on m’en a raconté trop pour que cela puisse être des coïncidences.
Autre observation : ne vous est-il jamais arrivé de penser à quelqu’un et que cette personne vous téléphone dans la foulée ? Pour moi la personne a pensé à vous avant de vous téléphoner et c’est cette pensée que vous avez perçue.
On parle beaucoup des ondes électromagnétiques, les ondes utilisées pour la radio, le téléphone, la télévision, l’électricité, la lumière. Ces ondes sont bien connues, étudiées et très utilisées.
Mais il existe aussi les ondes scalaires. Ce sont des ondes unidirectionnelles. Ce sont ces ondes qui permettraient la télépathie : contrairement aux ondes électromagnétiques elles passent à travers les cages de Faraday. Elles circulent directement de l’émetteur au récepteur par vortex et seraient formées de neutrinos (un électron, un positron et un ou plusieurs photons) pour les plus rapides, d’électrons et de photons.
Les neutrinos, issus des trous noirs cosmiques peuvent dépasser la vitesse de la lumière et représenteraient 85% de la masse de l’univers.
Nous émettons nous-mêmes des ondes scalaires et ce serait le support de la télépathie, mais aussi des soins à distance. Nous sommes des émetteurs et des récepteurs d’ondes scalaires. Pour qu’il puisse y avoir interconnexion, il faut une résonance entre l’émetteur et le récepteur.
A la différence des ondes électromagnétiques telles que les ondes lumineuses, les ondes radio que l’on peut capter dans la zone vers où elles sont émises, les ondes scalaires s’orientent dans l’espace lorsqu’une résonance, c’est-à-dire une communication, s’établit entre l’onde et la source.
Les ondes scalaires sont utilisées par des appareils quantiques tels que SWD du Pr Meyl. Ces appareils peuvent aussi être utilisés pour informer l’eau : ainsi l’absorption de cette eau « informée » pourra corriger les troubles présentés par le consultant.
Il y a aussi d’autres appareils, des appareils de bio-résonance qui agissent avec les champs électro-magnétiques, tels que physioscan, étioscan… Ils appartiennent aussi au champ de la physique quantique. L’appareil analyse les vibrations émises par le consultant et lui renvoie des ondes électromagnétiques en fonction de son état. Certains appareils permettent « d’imprimer » ces ondes sur des plaques.
Mais le souci avec ces appareils, avec l’eau informée par les ondes scalaires, c’est que l’information est donnée par une machine et crée un état de sclérose, qui fait évoluer vers l’entropie, comme si la dualité onde-particule avait disparu par effondrement de la fonction d’onde.
Ces dispositifs agissent certes sur les perturbations pour lesquelles ils ont été prescrits, mais ils coupent les personnes qui les reçoivent de leur capacité de lien à leur être intérieur, à leur moi profond, leur surconscient. Ils limitent les capacités de la personne à l’autoguérison.
Ne connaissant pas ces effets de l’eau informée, j’en avais conseillé à une amie car l’eau informée paraissait donner de bons résultats dans les suites de Covid et de vaccination contre le Covid. Elle vient me consulter pour des troubles du sommeil ou plus exactement une grande tristesse pendant ses réveils nocturnes l’empêchant de se rendormir. Toute la journée, elle devait lutter contre ce sentiment de tristesse.
Nous avons pratiqué le TRM (cf chapitre correspondant) en recherchant la cause de la tristesse. L’origine n’était ni spirituelle ni émotionnelle comme on aurait pu s’y attendre, mais c’était physique ! Ce n’était pas le corps physique, mais un médicament qui faisait chuter et plus précisément l’eau informée qu’elle avait prise pendant 3 semaines, 3 mois plus tôt ! Je l’ai ré-harmonisée avec l’eau informée qu’elle avait reçue et au TRM qui a suivi, la tristesse avait disparu, de même le lien au divin s’était rétabli. Et elle se sentait beaucoup plus joyeuse, avait beaucoup plus d’entrain !
Cela risque d’entraîner les receveurs de ces soins vers le transhumanisme, le matérialisme comme seul but de l’existence en les coupant de leur spiritualité.
Je vous recommande d’utiliser le TRM pour tester ces différentes thérapies quantiques telles qu’elles sont présentées au public aujourd’hui (en particulier, tester le lien avec la spiritualité, avec l’autoguérison en cas d’utilisation de ces pratiques), et d’en tirer les conséquences.
C’est ce qui se passe aussi quand un praticien utilise sa volonté pour guérir son patient au lieu d’être seulement un catalyseur. Dans un cas on crée l’effondrement de la fonction d’onde, on coupe les possibilités d’autoguérison.
Au contraire, comme on l’apprend en HG (Harmonisation Globale), en OB (Ortho-Bionomy) ou en PMI (Pratique Manuelle Informative), le praticien est seulement là présent pour le patient et l’accompagne sans volonté, en laissant faire.
Les ondes scalaires que nous produisons nous-mêmes quand nous sommes reliés à notre être intérieur aident au contraire les personnes autour de nous à se relier à leur être intérieur.
Ainsi les isothérapiques 6CH 20K faits à partir d’une dilution homéopathique en 6CH de vaccin contre le Covid et d’une dilution en 20K faite avec la connexion à notre être intérieur, participent à lutter contre le Covid, la fatigue chronique, contre les effets des vaccins contre le Covid (mauvaise immunité et des déficiences des ribosomes), mais ils nous aident aussi à nous rapprocher de notre être intérieur.
Des ateliers pour apprendre à fabriquer ces isothérapiques que vous pourrez utiliser pour vous et vos proches, sont proposés par des enseignants et des praticiens en HG. Vous pouvez y participer.