Newsletter novembre 2024

Newsletter Novembre 2024 Dr Thérèse Quillé

 

Bonjour à tous,

 

            Les mois passés je vous ai parlé de l’influence qu’on a les uns sur les autres : quand on rencontre des êtres gais, heureux, on se sent plus léger. Quand au contraire on croise des personnes tristes, on ressent cette tristesse même si la personne ne nous a rien dit, si on est en contact avec une personne en colère, qui s’est « levée du pied gauche », on en est touché, même sans qu’il y ait eu échange verbal.

            Je vous ai proposé d’envoyer des sourires, des bon-jours,… Avant de rencontrer quelqu’un, d’assister à une réunion, pensons aux personnes que nous allons rencontrer en leur souhaitant le meilleur par notre pensée… et la rencontre, parfois la confrontation sera plus facile.

            Nous avons énormément de pouvoir avec nos pensées. Nos ressentis nous permettent de mesurer les effets que les situations ont sur nous.

            Alors utilisons nos capacités à transformer le monde :

 

            Chaque jour les médias nous apportent leurs flots d’informations. Il y a les guerres, les catastrophes : inondations, tempêtes, séismes, agressions, risques sanitaires… Et comme nous avons pu nous en rendre compte, ces informations créent des peurs en nous, des perturbations. Elles affaiblissent notre vitalité, nous rendent plus vulnérables aux maladies, favorisent notre agressivité, comme une défense inconsciente à ce que nous ressentons.

            Nous pouvons choisir de ne plus regarder les informations perturbantes, mais elles sont partout. Nous pensons ne pas être sensible à la publicité, mais pour nous faire acheter, on crée en nous des envies et donc des frustrations qui vont aggraver nos états de tension, et c’est ce qui se passe. Prenons en conscience, non pas en nous élevons contre, cela renforcerait encore notre agressivité, mais en les acceptant et en nous en détachant.

            Nous pouvons aussi profiter des informations sur les guerres, les catastrophes… pour envoyer des pensées d’amour, de bienveillance non seulement aux victimes, mais aussi aux agresseurs, pour qu’ils prennent conscience des résultats de leurs actions…

           

            Nous prenons conscience de la pollution et de ses effets sur notre santé, sur la qualité de l’eau, de la nourriture, de l’air. Si nous pouvons choisir des aliments bio, des vêtements, des meubles, des moyens de transport qui sont à l’origine de moins de perturbation, faisons-le. Cela aidera notre Terre qui est un organisme vivant, ne l’oublions pas.

            Mais n’oublions pas que si la Terre est victime de nos pollutions matérielles, chimiques, elle l’est encore plus par nos pensées, notre manque de respect.

            Quand j’étais en Afrique, traditionnellement, au cours d’un rituel, les habitants s’adressaient aux animaux qu’ils  allaient chassés, leur expliquant qu’ils avaient besoin d’eux pour vivre. Ils ne tuaient que ce qui était nécessaire à leur vie, évitaient de faire souffrir inutilement leurs proies et les remerciaient pour leur sacrifice. Ils avaient conscience de faire partie de la nature, c’était comme un échange. De même avant de cultiver un champ, ils demandaient l’autorisation aux « esprits » de la nature, et remerciaient pour la récolte.

            Dans notre civilisation judéo-chrétienne, nous pensons que tout nous est dû ! Nous gérons la terre, les animaux, les plantes comme des choses, des esclaves… Nous nous considérons comme des exploitants. De même pour la gestion de l’eau, et de toutes les richesses de la terre. Les hommes sont dans des relations de domination, d’appropriation et de chosification. C’est ainsi qu’ils peuvent vider les océans de leurs poissons, massacrer les animaux. La société capitalo-industrielle considère qu’elle peut disposer du monde vivant pour son propre plaisir et sa propre jouissance, bien au-delà de sa subsistance.

            Nous n’avons pas pris conscience que, avec notre position, nous pouvons permettre à chaque  être vivant, animal, plante, de vivre le mieux possible, de collaborer avec nous

            Nous observons de plus en plus de catastrophes « naturelles ». Nous pensons qu’elles sont dues au réchauffement climatique, mais il y a une pollution beaucoup plus insidieuse sur laquelle nous pouvons agir : le manque d’amour. Nous pouvons envoyer des pensées de gratitude, de reconnaissance à la Terre, nous pouvons lui envoyer de la joie, lui dire merci … Autrefois en Europe aussi, il y avait des fêtes pour célébrer la nature : la fête des moissons, des vendanges, les feux de joie… Il nous faut retrouver notre âme d’enfant devant la nature, la célébrer, prendre conscience de notre place, de notre interdépendance. Autrefois aussi, on récitait le bénédicité au début du repas. On remerciait ainsi la nature pour les aliments et tout ce qui avait contribué à nous nourrir.

 

            Je vous invite au cours de la journée, chaque fois que vous y pensez, d’envoyer des pensées de réconciliation, de remerciements, de gratitude, tant pour vos proches et les autres êtres humains, que pour la Terre, les animaux, les plantes, et toute la nature.

 

            De même dans les moments privilégiés que vous vous donnez, dans vos méditations, continuez, après vous être centré et ancré au niveau du Hara, à vous centrer à votre Chakra du Cœur pour vous connecter à votre divinité. Et rayonnez alors votre amour, votre lumière à toutes les cellules de votre corps, à vos frères, à toute l’humanité et à toute la nature.

 

            Nous allons relire dans « la vie des Maîtres » de Baird Spadling p : 404, la réponse que Jésus fait à Weldon, un écrivain rencontré en Inde. Notez la définition que Jésus donne ici de Dieu : le Principe Divin, le principe créateur s’écoulant à travers l’homme. Comme Jésus nous y invite, pratiquons.

 

            Puis il (Jésus) continua : je vais vous parler comme je voudrais que vous vous parliez à vous-mêmes. Si vous voulez vérifier ma doctrine par la pratique et l’incorporer, aucune autre doctrine ne vous sera nécessaire. Il ne faut pas utiliser mes préceptes comme des formules, mais les étudiants peuvent s’en servir pour accorder leurs idées au Principe Divin, ou, comme on dit souvent, pour entraîner leurs pensées vers le point unique ».

            Nous employons aussi souvent que possible le mot Dieu, et nous le répétons un grand nombre de fois. C’est un fait bien connu que plus un homme se sert de ce mot sachant qu’il s’agit du principe suprême qui demeure en lui et s’écoule à travers lui, plus il en retire de profit. Permettez que je me répète. Notre pensée est la suivante : On ne saurait se servir trop souvent du mot Dieu.

            Percevez Dieu comme principe créateur, s’écoulant à travers vous. Concentrez ce principe, activez-le, émettez-le avec une influence plus dynamique. Il se propage toujours à travers vous et autour de vous. Vous pouvez donc l’accélérer en l’extériorisant avec la totalité des forces de votre être. Le corps de l’homme est l’agent de transformation et d’accélération permettant à ce pouvoir d’accomplir les plus grandes œuvres et de se manifester sous les formes les plus grandioses.

            Le Principe retire donc une force immense du fait que des millions d’hommes amplifient son rayonnement et l’émettent à leur tour. Cependant un homme seul, se manifestant dans sa pleine maîtrise, peut triompher du monde. Vous voyez donc ce que des millions d’hommes pourraient accomplir. Plus vous emploierez le nom de Dieu en sachant qu’il est le Principe suprême que vous êtes en train d’instaurer en vous, plus votre corps vibrera à un rythme élevé. Ses vibrations s’harmoniseront et répondront aux vibrations divines que le mot Dieu exprime. Il vous suffit de dire Dieu une seule fois en sachant ce que cela signifie, pour que votre corps ne reprenne jamais son précédent rythme vibratoire.

            Gardez cela présent à l’esprit. Incorporez ces préceptes. Mettez-les au besoin sous une forme verbale qui vous plaise personnellement. Ils viennent de vous et non d’une source extérieure. Essayez quelque temps et vous verrez ce qu’il en résultera pour vous. Chaque fois que vous pensez « Dieu », vous êtes le Plan de Dieu. Ce ne sont pas mes paroles, mais les vôtres, venant du Christ de Dieu qui est vous-même. Souvenez-vous que Jésus, l’homme, est devenu le Christ en manifestant la lumière, qui est la vie pure ou Dieu.

            Dieu mon Père, le principe divin s’exprimant par moi, est tout. Et JE SUIS tout ce qu’est Dieu. Je suis le Christ de Dieu, le Dieu-homme qui peut user de tout ce qu’est Dieu mon Père. JE SUIS est donc fondé à se servir de toute substance. En fait, Dieu mon Père fournit toute substance à Dieu-homme en quantité illimitée. Dieu-principe est mon Père, JE SUIS le Christ de Dieu. Notre union est totale. Le Christ de Dieu est tout ce que Dieu possède.

            Reprenons le mot Dieu. Comment se fait-il qu’il ait une telle puissance ? C’est à cause des vibrations émises quand il est prononcé. Ce sont les vibrations suprêmes, les plus efficaces. Elles sont le Cosmos. Elles s’introduisent par le Rayon Cosmique et établissent le champ de radiation le plus élevé, qui inclut tout, pénètre tout, gouverne toute masse. Ces vibrations régissent toute énergie et forment le véhicule de la lumière et de la vie. L’intelligence qui les dirige est ce que nous appelons Dieu. L’Intelligence pénètre partout par son rayonnement qui apporte lumière et vie.

            Quand l’homme accepte ces vibrations avec leurs effets, il les incorpore. Son corps répond immédiatement aux vibrations lumineuses et rayonne de la lumière. Il est la vibration de Dieu. Il est alors généralement invisible à ceux qui fonctionnent dans un champ vibratoire inférieur. Telle est la raison pour laquelle le mot Dieu est si puissant.

 

 

            Je ne peux que vous inviter à pratiquer, à rayonner l’amour, la paix, la lumière,…. Nous pouvons transformer, transmuter le monde !

            Si vous pouvez faire part des résultats que vous avez obtenus en procédant ainsi…